mardi, janvier 18, 2005
la limite de la vitalite
comme on voit l'humeur rend plus ou moins acceptable le tres different, certains jours il agace du cote du violent. parfois, c'est seulement l'odeur de cannelle qui flotte dans mon quartier. autour de shogoin tera, il y a beaucoup de magasins de mochi, un centre d'artisanat traditionnel, et ceci justifie que l'air embaume certains jours sans regularite apparente. pour le debut d'annee nous avons encore une fete a faire avec le club d'aikido, ou la soupe sera japono-traditionnelle et les crepes seront faites par moi. donc pas tres traditionnelles, juste avec les ingredients au pif comme ma maman (mais jusqu'ou faut-il faire remonter la tradition ?).
car, tradition : on m'a dit que le riz se mangeait toujours blanc, qu'il ne fallait pas le melanger a d'autres produits car il y perdait sa purete. c'etait vrai il y a vingt ans. maintenant les jeunes (et moi aussi) raffolent du dombori, petit plat avec du riz et un gros tas de produits pose sur le dessus. legumes et viandes frites, oeuf, produits divers vaguement ensauces, qui se deposent sur le dessus et souillent savoureusement le bon riz blanc pur. bref. les moeurs bougent comme une maison au milieu d'un tremblement de terre.
mefiance : guillaume a pris un oeuf dans sa coquille a la cantine, pensant engouffrer un oeuf dur. il a fini par en poser un cru sur son bol de riz, apres avoir eu l'experience de la surprise, ce qui a rendu la degustation singulierement delicate avec les baguettes. meme le pro qu'il est faisait moins le fier.
car, tradition : on m'a dit que le riz se mangeait toujours blanc, qu'il ne fallait pas le melanger a d'autres produits car il y perdait sa purete. c'etait vrai il y a vingt ans. maintenant les jeunes (et moi aussi) raffolent du dombori, petit plat avec du riz et un gros tas de produits pose sur le dessus. legumes et viandes frites, oeuf, produits divers vaguement ensauces, qui se deposent sur le dessus et souillent savoureusement le bon riz blanc pur. bref. les moeurs bougent comme une maison au milieu d'un tremblement de terre.
mefiance : guillaume a pris un oeuf dans sa coquille a la cantine, pensant engouffrer un oeuf dur. il a fini par en poser un cru sur son bol de riz, apres avoir eu l'experience de la surprise, ce qui a rendu la degustation singulierement delicate avec les baguettes. meme le pro qu'il est faisait moins le fier.
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