mercredi, avril 06, 2005
le soleil se lève à 5 heures
ce soleil, il faut le voir sortir des montagnes !
sortant du temple-sanglier, lieu d'une prière à cinq yen pour le visa de nicolas, nous traverssions avec guillaumousan le jardin du palais impérial. oh miracle, les portes du palais étaient ouvertes.
ne jamais laisser passer une occasion rare.
La foule pas encore compactée montrait ses sacs à des policiers dont on ne sait ce qu'ils cherchaient mais qui nous souriaient doucement. Le test passé avec succès, nous avons suivi le chemin de visite. Des arbres superbement tordus ne regardant que vers le ciel, de grandes cours de gravier reposantes, un petit jardin de mousse et d'arbre - zone tristement interdite, où la mare surplombée de ponts de pierre est alimentée par une cascade sonore, des bambous de diverses sortes, des portes immenses et vieilles au fond des grandes cours, un bâtiment étrangement non rénové, des maisons ouvertes à tout vent, portes coulissantes dont on se demande si on pourra s'en passer, peintures à l'or très discrètes, étranges sorties de poutres peintes partiellement en blanc. la couleur du orange est un peu différente de la couleur des temples, plus claire. elle est aussi très belle.
les vieilles dames, si je l'ai dit je le repète, et je le dirai tant qu'on ne me croira pas, sont des engeances universelles dans les queues de poste. elles doublent en jetant un regard en coin pour vérifier qu'elles font bien chier. a toute personne chromosomée XX : "attention : ne pas devenir comme ça".
(pour les XY, pas de conseils, continuez comme ça, rien ne peut s'améliorer ou se déteriorer).
suis-je la seule à ressentir un bonheur immense lors des premiers jours de printemps, quand la chaleur remonte d'un sol déjà plus chaud que l'air ? vers la fin de la journée l'émotion m'envahit "ça y est, il est revenu", légèrement enivrante.
(oups on a été médisant pour le prince rainier).
sortant du temple-sanglier, lieu d'une prière à cinq yen pour le visa de nicolas, nous traverssions avec guillaumousan le jardin du palais impérial. oh miracle, les portes du palais étaient ouvertes.
ne jamais laisser passer une occasion rare.
La foule pas encore compactée montrait ses sacs à des policiers dont on ne sait ce qu'ils cherchaient mais qui nous souriaient doucement. Le test passé avec succès, nous avons suivi le chemin de visite. Des arbres superbement tordus ne regardant que vers le ciel, de grandes cours de gravier reposantes, un petit jardin de mousse et d'arbre - zone tristement interdite, où la mare surplombée de ponts de pierre est alimentée par une cascade sonore, des bambous de diverses sortes, des portes immenses et vieilles au fond des grandes cours, un bâtiment étrangement non rénové, des maisons ouvertes à tout vent, portes coulissantes dont on se demande si on pourra s'en passer, peintures à l'or très discrètes, étranges sorties de poutres peintes partiellement en blanc. la couleur du orange est un peu différente de la couleur des temples, plus claire. elle est aussi très belle.
les vieilles dames, si je l'ai dit je le repète, et je le dirai tant qu'on ne me croira pas, sont des engeances universelles dans les queues de poste. elles doublent en jetant un regard en coin pour vérifier qu'elles font bien chier. a toute personne chromosomée XX : "attention : ne pas devenir comme ça".
(pour les XY, pas de conseils, continuez comme ça, rien ne peut s'améliorer ou se déteriorer).
suis-je la seule à ressentir un bonheur immense lors des premiers jours de printemps, quand la chaleur remonte d'un sol déjà plus chaud que l'air ? vers la fin de la journée l'émotion m'envahit "ça y est, il est revenu", légèrement enivrante.
(oups on a été médisant pour le prince rainier).
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