lundi, avril 18, 2005
les sons reprennent le dessus
le matin au carrefour higashioji-marutamachi, un homme a pose deux hauts-parleurs autour de lui, au coin sud-ouest, et nous crie des informations. je ne sais pas s'il fait une campagne d'election ou de la pub, demande des sous pour une secte ou fait une confession publique. mais c'est toujours joyeux d'entendre hurler sous ses fenetres et de regarder ce maboul (je me permets).
dans les jardins de l'empeureur, je decouvre un nouveau temple ou une femme fait des abblutions et des clap-clap dans la lumiere d'un soleil qui mordra plus tard dans la journee. je peux faire golong-golong-clap-clap sans mettre d'argent car il n'y a pas de tronc a l'autel que je visite. c'est suffisamment rare pour me faire sourire.
plus loin, il y a un camp d'entrainement d'homme en uniforme qui crient et se mettent au garde a vous. j'arrive dans l'ecole de japonais en avance, et les employes font une reunion en rond, debout, dans la salle d'administration. une des personnes parle aux autres d'un air serieux et tout le monde a les mains reunies, posees sur le haut des cuisses. ensuite il y a le cours (celui qui pousse a la depression).
dans les jardins de l'empeureur, je decouvre un nouveau temple ou une femme fait des abblutions et des clap-clap dans la lumiere d'un soleil qui mordra plus tard dans la journee. je peux faire golong-golong-clap-clap sans mettre d'argent car il n'y a pas de tronc a l'autel que je visite. c'est suffisamment rare pour me faire sourire.
plus loin, il y a un camp d'entrainement d'homme en uniforme qui crient et se mettent au garde a vous. j'arrive dans l'ecole de japonais en avance, et les employes font une reunion en rond, debout, dans la salle d'administration. une des personnes parle aux autres d'un air serieux et tout le monde a les mains reunies, posees sur le haut des cuisses. ensuite il y a le cours (celui qui pousse a la depression).
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