samedi, mai 28, 2005
yoko sensei est de retour !
c'est pas que j'aime pas les cours d'asako, manu, vlad ou ikedasan, mais c'est tout de meme pas pareil quand c'est la chef. y'a pas a chier, c'est un boulot d'enseigner et de pousser tout le monde a pratiquer. a cette prof qui a la caracteristique de ne pas trop se prendre la tete, mais j'expliquais que c'est un sacre avantage de croiser les enseignants de haut niveau dans leur environnement naturel. vu de france, le prof du hombu dojo ou affilie est une figure vaguement mythique, qu'on ose pas regarder dans les yeux de peur de faire une faute de protocole. vu d'ici, c'est un monsieur (ou une dame pour les affilies - pas de femme au hombu dojo pour l'instant) qui passe au milieu de tout le monde pour faire travailler et donner des conseils, qui dit bonjour et au revoir en partant, qui peut meme se melanger aux autres pour l'apero (et encore, je pense a endo sensei qui se comporte un peu en chef de secte classique). ma sensei nous fait les crepes (en ecoutant le sumo). certes, on doit faire quelques efforts de politesse dans le discours, mais pas beaucoup plus qu'avec toute personne plus agee, finalement.
et tandis que yoko se faisait perdre les bagages entre vancouver et osaka (apres qu'ils aient ete egares a l'aller entre osaka et vancouver, ce qui fait humour un peu repetitif), le petit nicholas (que j'appelle petit par son age de 20, mais qui est un americain format normal pour un jeune pousse dans les annees 80-90, donc equivalent de deux bons japonais) prend son avion dans le sens inverse. nous avons donc dignement dejeune l'occasion avec du porc pane (ou autre produits pane - je redemanderai le nom de ce plat pretendument delicieux que je trouve bien trop gras) avec lequel on recoit du sesame qu'on s'ecrase soit meme dans son bol et sur lequel on verse de la sauce pour melanger, et qu'on se fait servir avec riz a volonte, petits tsukemono bons, moutarde, chou coupe a volonte, miso soupe a volonte. je continue a ne pas apprecier la miso, ce qui est fort etrange pour tout un chacun, a la limite de l'aberrant. ma repulsion est infiniment moindre que celle au nato, on s'en doute.
en ce moment, je tue plein de cafards, que je regarde se secouer, que je brule quand ils se cachent dans les plaques au gaz. je les vois agoniser et n'ai pas d'autre choix que de les tuer (crois-je). je pense en parallele que c'est mal, pourquoi se donner le droit de faire ca. mais je les trouve sales et envahissants. il y a neanmoins des questions de karma (incomprehensibles, donc) derriere tout cela.
je cite boulet dans son blog "Tu as vote chirac ? tu seras reincarne en morpion de Jean Lefebvre"
hier j'ai legerement festouille car moncho m'avait encore invitee a son mix, cette fois-ci je ne payait pas trop la frime. en rentrant, j'ai vu deux jeunes femmes en habits de lumiere et froufrou vert et jaune, immenses faux cils, comme on en croise a londres souvent, a shibuya a tous les coins de rue le samedi soir, a kyoto jamais. une extravagance qui rend difficile la sortie du taxi mais qui fait agreablement sourire les passants.
la nuit, la lune est rousse.
le jour, il fait chaud a se mettre en mini-jupe
le soir, le vent souffle froid a mettre un sweat-shirt de la maison hantee offert par son cheri qui tient chaud.
et tandis que yoko se faisait perdre les bagages entre vancouver et osaka (apres qu'ils aient ete egares a l'aller entre osaka et vancouver, ce qui fait humour un peu repetitif), le petit nicholas (que j'appelle petit par son age de 20, mais qui est un americain format normal pour un jeune pousse dans les annees 80-90, donc equivalent de deux bons japonais) prend son avion dans le sens inverse. nous avons donc dignement dejeune l'occasion avec du porc pane (ou autre produits pane - je redemanderai le nom de ce plat pretendument delicieux que je trouve bien trop gras) avec lequel on recoit du sesame qu'on s'ecrase soit meme dans son bol et sur lequel on verse de la sauce pour melanger, et qu'on se fait servir avec riz a volonte, petits tsukemono bons, moutarde, chou coupe a volonte, miso soupe a volonte. je continue a ne pas apprecier la miso, ce qui est fort etrange pour tout un chacun, a la limite de l'aberrant. ma repulsion est infiniment moindre que celle au nato, on s'en doute.
en ce moment, je tue plein de cafards, que je regarde se secouer, que je brule quand ils se cachent dans les plaques au gaz. je les vois agoniser et n'ai pas d'autre choix que de les tuer (crois-je). je pense en parallele que c'est mal, pourquoi se donner le droit de faire ca. mais je les trouve sales et envahissants. il y a neanmoins des questions de karma (incomprehensibles, donc) derriere tout cela.
je cite boulet dans son blog "Tu as vote chirac ? tu seras reincarne en morpion de Jean Lefebvre"
hier j'ai legerement festouille car moncho m'avait encore invitee a son mix, cette fois-ci je ne payait pas trop la frime. en rentrant, j'ai vu deux jeunes femmes en habits de lumiere et froufrou vert et jaune, immenses faux cils, comme on en croise a londres souvent, a shibuya a tous les coins de rue le samedi soir, a kyoto jamais. une extravagance qui rend difficile la sortie du taxi mais qui fait agreablement sourire les passants.
la nuit, la lune est rousse.
le jour, il fait chaud a se mettre en mini-jupe
le soir, le vent souffle froid a mettre un sweat-shirt de la maison hantee offert par son cheri qui tient chaud.
Comments:
Enregistrer un commentaire