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lundi, juillet 18, 2005

je barbecute 

et surtout ils barbecutent, car je suis toujours aussi nulle pour organiser ce type d'evenements joyeux, au bord d'une eau pas tres propre, sur un rivage qui rappelle palavas les flots, mais qui vire malgre tout au sympathique. je suis toujours fascinee que les americains, individuellement, soient des etres charmants et sociaux, qui par leur gaite simple de barbecuteurs sans complexes font rire meme les pires pisses-froids (moi). et puis apres il y a un pays et des presidents.
c'etait le bord du lac biwa, atteint pas la gare de zeze dont le nom me fait encore pouffer tout comme si l'age ne ridait pas mon front.
nous avons pris le soleil et lance un frisbee aux couleurs de titi (ennemi de rominet) tandis qu'un couteau dechiquettait la chair d'une pasteque juteuse et sucree.
la pluie a menace et l'orage tonne, en un instant passant du bleu au gris le ciel nous a refroidi. le vent a emporte les assiettes en papier puis ramene le beau temps.
guillaume a revise son cinquieme kyu, nous sommes rentres, epuises comme cela arrive quand il a fait trop chaud. a l'instat du labrador, le bain est un fidele ami de l'homme (mais je ne recommande pas de mettre l'un dans l'autre).

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