vendredi, septembre 16, 2005
maruzen
un des evenements du moment c'est la fermeture de maruzen kawaramachi. c'etait jusqu'alors LA grande librairie pour livres etrangers (principalement anglophones) de la ville. il y a aussi green e-book, sur marutamachi a cote du metro keihan, avec beaucoup de livres d'occasion. et puis pour les francophones l'institut franco-japonais.
apres, il faut etre a l'aise avec le jargon local.
mais l'institution maruzen qui disparait a de quoi rendre triste puisque c'est une branche d'une des plus vieille librairie du japon.
et pourtant, les japonais lisent en apparence beaucoup.
cours de japonais filme pour que la prof puisse faire une demande de travail dans une autre ecole. c'est maintenant.
bien, le cours, c'est du passé.
notez que maintenant, quand je me saisis de pillow (mon power book s'appelle pillow book, il faudrait que je vérifie combien je radotte), je sais faire des accents. je ne sais toujours pas utiliser les majuscules car on ne m'a pas appris lorsque j'étais enfant, un regrettable oubli des affectueux enseignants qui ont à l'occasion tapoté ma tête blonde de contentement (pas blonde de contentement, tapoter de contentement). ils n'ont pas vu, les pauvres, qu'ils avaient par leur négligence engendré un monstre orthographique dont la fainéantise légendaire irait jusqu'à torturer des lecteurs innocents situé à des distances commensurables certes, mais grandes.
tout ca pour dire (je reste ignorante en ce qui concerne le c cedille) que le cours de japonais a eu lieu et que la professeur pour nous remercier a : apporté des gâteaux de sa ville natale, nagoya (j'ai le droit de mettre les noms des villes dans mon blogs, je crois que la loi ne s'y oppose pas) ; fait un détour à la vending-machine pour nous rapporter qui son jus de fruits, qui son café, thé, coca,... ; donné à chacun d'entre nous une shoto card (c'est écrit en romanji mais l'explication est à demander à un nippophone - je ne sais pas comment on dit un "lisant japonais" - même si le nom ressemble hachement à しょとかん dont l'orthographe est approximative car je ne sais pas s'il y a ni où des voyelles longues) qui ressemble à une carte de métro enfermée dans une petite enveloppe charmante qui fait juste sa taille et qui est un bon de 500¥ pour acheter des livres dans des librairies.
je dis : elle fait vraiment les choses bien.
apres, il faut etre a l'aise avec le jargon local.
mais l'institution maruzen qui disparait a de quoi rendre triste puisque c'est une branche d'une des plus vieille librairie du japon.
et pourtant, les japonais lisent en apparence beaucoup.
cours de japonais filme pour que la prof puisse faire une demande de travail dans une autre ecole. c'est maintenant.
bien, le cours, c'est du passé.
notez que maintenant, quand je me saisis de pillow (mon power book s'appelle pillow book, il faudrait que je vérifie combien je radotte), je sais faire des accents. je ne sais toujours pas utiliser les majuscules car on ne m'a pas appris lorsque j'étais enfant, un regrettable oubli des affectueux enseignants qui ont à l'occasion tapoté ma tête blonde de contentement (pas blonde de contentement, tapoter de contentement). ils n'ont pas vu, les pauvres, qu'ils avaient par leur négligence engendré un monstre orthographique dont la fainéantise légendaire irait jusqu'à torturer des lecteurs innocents situé à des distances commensurables certes, mais grandes.
tout ca pour dire (je reste ignorante en ce qui concerne le c cedille) que le cours de japonais a eu lieu et que la professeur pour nous remercier a : apporté des gâteaux de sa ville natale, nagoya (j'ai le droit de mettre les noms des villes dans mon blogs, je crois que la loi ne s'y oppose pas) ; fait un détour à la vending-machine pour nous rapporter qui son jus de fruits, qui son café, thé, coca,... ; donné à chacun d'entre nous une shoto card (c'est écrit en romanji mais l'explication est à demander à un nippophone - je ne sais pas comment on dit un "lisant japonais" - même si le nom ressemble hachement à しょとかん dont l'orthographe est approximative car je ne sais pas s'il y a ni où des voyelles longues) qui ressemble à une carte de métro enfermée dans une petite enveloppe charmante qui fait juste sa taille et qui est un bon de 500¥ pour acheter des livres dans des librairies.
je dis : elle fait vraiment les choses bien.
Comments:
Enregistrer un commentaire