lundi, octobre 10, 2005
encore un jour férié
c’est incroyable ce pays où les jours fériés s’accumulent et où le serveur ne marche pas pour accéder au monde. il y a un grand festival d’art à kyoto depuis un mois (j’apprends) et je vois des petits films d’animation d’après-guerre assez nuls. je ne recommande pas non plus leon, un film-patate-succès de plus.
hier soir, j’ai fait deux fêtes d’anniversaire, l’une avec des plus vieux et l’autre avec des plus jeunes. les plus vieux m’emmènent au restaurant (nouvelle cuisine japonaise, très bon), je vois des anglo-saxons et allemands artisto-new age qui parlent parfaitement japonais sans frimer avec leurs copains sculpteur et photographe (une fille qui s’appelle maki - je dis ça pour le maki de marseille aussi photographe). On rit et traite de gaijin l’une d’entre nous qui oublie de retirer ses chaussures en sortant des toilettes (les fameux chaussons des toilettes) et dit d’un air désolé “12 years in japan”. j’apprends qu’il existe un karaoke mythique ancienne salle de boxe, le rocky 5, où il faut absolument aller (mais je les abandonne pour la seconde fête, 今度 on dit - prochaine fois). j’apprends qu’il arrive que l’on refuse l’accès aux homosexuels dans un love hotel en prétextant “pas à kyoto, peut-être à osaka mais ici, pas deux hommes” ce qui est faux bien sûr sauf chez les snobs - j’ai quand même eu une inquiétude. je n’ai guère le goût au travail et pourtant tente de lire des penseurs : autre que marguerite, tout m’em*
hier soir, j’ai fait deux fêtes d’anniversaire, l’une avec des plus vieux et l’autre avec des plus jeunes. les plus vieux m’emmènent au restaurant (nouvelle cuisine japonaise, très bon), je vois des anglo-saxons et allemands artisto-new age qui parlent parfaitement japonais sans frimer avec leurs copains sculpteur et photographe (une fille qui s’appelle maki - je dis ça pour le maki de marseille aussi photographe). On rit et traite de gaijin l’une d’entre nous qui oublie de retirer ses chaussures en sortant des toilettes (les fameux chaussons des toilettes) et dit d’un air désolé “12 years in japan”. j’apprends qu’il existe un karaoke mythique ancienne salle de boxe, le rocky 5, où il faut absolument aller (mais je les abandonne pour la seconde fête, 今度 on dit - prochaine fois). j’apprends qu’il arrive que l’on refuse l’accès aux homosexuels dans un love hotel en prétextant “pas à kyoto, peut-être à osaka mais ici, pas deux hommes” ce qui est faux bien sûr sauf chez les snobs - j’ai quand même eu une inquiétude. je n’ai guère le goût au travail et pourtant tente de lire des penseurs : autre que marguerite, tout m’em*
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