dimanche, octobre 23, 2005
l'hiver sera froid
Déjeuner de filles dans un bâtiment d’artistes. j’achète un sweat-shirt lui aussi d’artiste et me plaint légèrement d’un défaut peu notable, ce qui réduit le prix sans marchandage - autre que de faire préciser plusieurs fois en montrant que je comprend mal que non, il n’y a pas d’exemplaire neuf - de 8500 à 5000. Je trouve de plus en plus délicat de faire une théorie de la négociation ici, alors que chaque événement rend plus opaque ma perception.
Le déjeuner de filles me confirme que les japonais achètent des colliers pour chien Louis Vuitton. J’apprends que longtemps les objets Vuitton étaient au japon une quai-monnaie qui pouvaient être revendus facilement à tout moment. Les rolex en Chine ont apparemment ce rôle.
Je découvre aussi que le second festival qui a eu lieu hier, plus institutionnel et qui, passant à côté de chez moi m’a permis de constater que ces braves gens déguisés en samouraïs à cheval et pages à pieds s’emmerdaient à mourir devant une foule assez limitée, réquisitionne chaque année de façon impérative les membres des l’association d’un quartier sélectionné. Il fait froid, on marche plusieurs heures, si l’on manque de motivation, c’est normal de transmettre de genre de froideur hébétée. Au moins, dans ce type d’événement il n’y a pas besoin que les photographes étouffent chaque mouvement des participants pour accroitre la distance entre fete et observateur, puisque a la base, fete il n’y a pas.
Le déjeuner de filles me confirme que les japonais achètent des colliers pour chien Louis Vuitton. J’apprends que longtemps les objets Vuitton étaient au japon une quai-monnaie qui pouvaient être revendus facilement à tout moment. Les rolex en Chine ont apparemment ce rôle.
Je découvre aussi que le second festival qui a eu lieu hier, plus institutionnel et qui, passant à côté de chez moi m’a permis de constater que ces braves gens déguisés en samouraïs à cheval et pages à pieds s’emmerdaient à mourir devant une foule assez limitée, réquisitionne chaque année de façon impérative les membres des l’association d’un quartier sélectionné. Il fait froid, on marche plusieurs heures, si l’on manque de motivation, c’est normal de transmettre de genre de froideur hébétée. Au moins, dans ce type d’événement il n’y a pas besoin que les photographes étouffent chaque mouvement des participants pour accroitre la distance entre fete et observateur, puisque a la base, fete il n’y a pas.
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