dimanche, novembre 20, 2005
le dimanche c'est partout pareil
un petit garcon traverse precautionneusement la riviere dans ses bottes jaunes, epuisette a la main, a un metre en deca d'une petite cascade. un homme marche en jouant de la flute. un pere et son fils aux visages tres similaires font un footing au meme pas ; tous les deux sont rouge-brique. dans la galerie marchande j'achete des fleurs et des carottes pour la soupe, des clementines. un americain ou allemand grand et blond vient chez le meme marchand - il me fait une petite ristourne et lui fait payer plus cher. il y a ristourne sur les couvertures en acrylique colore bien epaisses. la riviere est peu pleine, tout le monde est en voiture dans les petites rues. il fait beau et le soleil chauffe.
hier, dans le restaurant d'osaka, on mangeait sur des tables-jeux videos, on pouvait voir a la tele des combats de K1, avec des monstres gigantesques qui se foutent sur la gueule et se font embrasser avec la langue par des blondasses en manteau de fourrure apres le match, des manga partout, plein de jeunes aux cheveux gras qui mangent un dombori. dans le club, ou j'ai bu la biere de trop qui m'a fait vider deux litres d'eau dans la nuit pour lutter contre la deshydratation, et que j'ai fui quand le groupe entamait "every breath you take", truffage de gaijin et de vieilles femmes seules picolant. a kyobashi nous avons goute du beaujolais nouveau qu'un type etait content de nous recommander - cher, il etait moins mauvais que la plupart des horreurs que l'on peut consommer dans les bars chez nous, plutot doux, selection pour le gout local.
hier, dans le restaurant d'osaka, on mangeait sur des tables-jeux videos, on pouvait voir a la tele des combats de K1, avec des monstres gigantesques qui se foutent sur la gueule et se font embrasser avec la langue par des blondasses en manteau de fourrure apres le match, des manga partout, plein de jeunes aux cheveux gras qui mangent un dombori. dans le club, ou j'ai bu la biere de trop qui m'a fait vider deux litres d'eau dans la nuit pour lutter contre la deshydratation, et que j'ai fui quand le groupe entamait "every breath you take", truffage de gaijin et de vieilles femmes seules picolant. a kyobashi nous avons goute du beaujolais nouveau qu'un type etait content de nous recommander - cher, il etait moins mauvais que la plupart des horreurs que l'on peut consommer dans les bars chez nous, plutot doux, selection pour le gout local.
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