dimanche, janvier 29, 2006
sautiller en portant un dieu
sur le chemin de la philosophie, sous un soleil printanier, chaud et gai, des hommes portaient en passant d'une jambe sur l'autre et criant un lourd tresor contenant une divinite. ils avaient bien sur chiffon autour de la tete et cafe chaud distribue par un des organisateurs au moment de la pause. pas de femme. aucune sauf moi qui debarque par hasard en croute vers le pavillon d'argent, coincee par les sautilleurs ruisselants. la suite on la connais: je degaine mon appareil photo que je ne lacherai plus avant le gouter avec yola, il se revele empli de superbes mousses et jardins de pierres, de chiens, de glaces au macha et surtout de photographes enthousiastes, du plus amateur et son telephone portable, au plus equipe et son long pied. apres le gouter, le temps disparait et nous nous retrouvons au diner dans une chaine pres de hyakumanben, au 100 en shop pour decouvrir les derniers ustensibles dont on ne peut se passer (deux petites chaussures en plastiques posees tete beche et qui permettent le rangement des chaussures l'une par dessus l'autre sans qu'aucune ne soit abimee), et finalement a zac baran car les filles ne savent s'arreter de parler.
quand il fait beau on redevient faineant.
quand il fait beau on redevient faineant.
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