vendredi, février 03, 2006
la bonne distance
aujourd'hui, j'ai eu droit a un moment de grace et en travaillant avec noriko, j'ai compris ce que voulait dire trouver la distance juste. vous avez compris que je parle d'aikido. apres j'ai essaye avec manu pendant un long nombre d'echange, trop content d'avoir senti ou mes mains devaient se poser pour etre devant moi, entre lui et moi, sans intention ni stress, vraiment attachees a mon ventre. serait-ce le chemin vers un corps moins disperse ? la densite ardemment recherchee ?
l'ingratitude de cette discipline, c'est que maintenant je sais d'avance que pendant trois semaines je vais galerer a rechercher cette sensation, telle tintin et le capitaine haddock dans leur course au tresor de rackam le rouge. ceux qui se souviennent de la fin savent que je viens de faire une remarque optimiste, ce qui change du desespoir sombre que je me plais a incarner (j'aime bien, ca me donne un petit air romantique).
pour continuer du cote orange de la vie, le prochain gateau au macha sera, je le sais deja, bon. je dis orange plutot que rose car chez moi la couleur du bonheur, c'est le orange - et d'ailleurs je vous ai menti - comme me l'a signale manu : je surabuse de cette couleur sans meme m'en rendre compte puisque mon sac d'aikido, trimbale au bas mot 4 fois par semaine, est un faux north face ramene de thailande, orange ultra-petant.
ce soir c'est le feu de yoshida jinja et la rue est emplie de boutiques qui vendent des portes bonheur et des teriyaki, des clementines d'amour (version adaptee de la pomme d'amour), des barbes a papa et des sushi porte-bonheur (un suhsi non coupe qu'on mange en regardant vers le sud-sud-est cette annee), de l'alcool a n'en pas douter, vu la voix qui enthousiaste et la demarche chaloupee des jeunes hommes en groupe hier soir. cet apres-midi, les rues sont emplies de types habilles en costumes luminescents d'un autre temps, petits chapeaux sur tete rasees, jouant l'histoire des temples et de setsubun (la vraie nouvelle annee avant les contacts avec la degenerescence venue de l'ouest). il y a aussi des retraites pour jouer le role des touristes. je pars dans quelques minutes pour apprecier la kermesse de shogoin et les demons de heian jingu. malgre la tempete.
l'ingratitude de cette discipline, c'est que maintenant je sais d'avance que pendant trois semaines je vais galerer a rechercher cette sensation, telle tintin et le capitaine haddock dans leur course au tresor de rackam le rouge. ceux qui se souviennent de la fin savent que je viens de faire une remarque optimiste, ce qui change du desespoir sombre que je me plais a incarner (j'aime bien, ca me donne un petit air romantique).
pour continuer du cote orange de la vie, le prochain gateau au macha sera, je le sais deja, bon. je dis orange plutot que rose car chez moi la couleur du bonheur, c'est le orange - et d'ailleurs je vous ai menti - comme me l'a signale manu : je surabuse de cette couleur sans meme m'en rendre compte puisque mon sac d'aikido, trimbale au bas mot 4 fois par semaine, est un faux north face ramene de thailande, orange ultra-petant.
ce soir c'est le feu de yoshida jinja et la rue est emplie de boutiques qui vendent des portes bonheur et des teriyaki, des clementines d'amour (version adaptee de la pomme d'amour), des barbes a papa et des sushi porte-bonheur (un suhsi non coupe qu'on mange en regardant vers le sud-sud-est cette annee), de l'alcool a n'en pas douter, vu la voix qui enthousiaste et la demarche chaloupee des jeunes hommes en groupe hier soir. cet apres-midi, les rues sont emplies de types habilles en costumes luminescents d'un autre temps, petits chapeaux sur tete rasees, jouant l'histoire des temples et de setsubun (la vraie nouvelle annee avant les contacts avec la degenerescence venue de l'ouest). il y a aussi des retraites pour jouer le role des touristes. je pars dans quelques minutes pour apprecier la kermesse de shogoin et les demons de heian jingu. malgre la tempete.
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