samedi, mars 11, 2006
rangement
en ce moment, c'est le grand rangement. au labo dans quelques jours nous allons jeter et demenager la piece dans laquelle je bosse. chez moi, je commence a anticiper un depart prochain (d'autant que mes objets vont partir avant moi). cela me permet d'apprecier la quantite de paquet, papier cadeau, emballages, boites tres jolies, papier bulle, que j'ai accumule en un an. c'est un record, je pense. l'accumulation d'emballage ici impressionne donc au moment du bilan tout autant qu'au quotidien. malgre tout cela le japon reste le pays le moins pollueur parmi les pays developpes, et de loin. c'est la petite quantite de voitures et les usines dont les normes de proprete sont tres elevees qui fait la difference.
J'ai donc descendu mon gros sac poubelle de plastique et papiers d'emballage, mais je ne savais pas ou mettre ces produits, surement a recycler. en effet, dans mon garage, il n'y a pas d'avis expliquant le fonctionnement des poubelles, et donc je ne peux pas lire comment se deroule la gestion des poubelles (puisque c'est tout ce que je suis capable de comprendre).
pour ce qui est du printemps, il est bien la, aujourd'hui j'ai snobe le blouson. les fleurs sentent la fleur et rosissent au soleil tandis que leur pistil jaune s'elance tel un dard vers le ciel. les bourgeons pas encore sortis font pression contre l'ecorce legere qu'on sent prete a craquer. la sensualite de la saison nouvelle n'echappe pas aux photographes amateurs, que l'on suppose erotomanes, comme tous les types installes a l'entree du combini du coin et qui devorent les bedes pornos a 367 yen. les gateaux au mochi sont a la prune, et on sent que les cerises vont arriver bientot.
le long du chemin des philosophes, le nombre des touristes augmente. je trouve un magasin extraordinaire dont l'obsession de decoration est le chat, aux vendeuses charmantes et au chat du comptoir un peu vieillissant et ronronneur. la fin de journee est lente et sans que l'alarme du matin ait eu un quelconque effet sur la fin des reves. une journee sans reveil, de ces jours heureux et cotonneux ou a aucune moment la conscience ne sort au grand jour et ne force a l'action ou a la comprehension. benis.
J'ai donc descendu mon gros sac poubelle de plastique et papiers d'emballage, mais je ne savais pas ou mettre ces produits, surement a recycler. en effet, dans mon garage, il n'y a pas d'avis expliquant le fonctionnement des poubelles, et donc je ne peux pas lire comment se deroule la gestion des poubelles (puisque c'est tout ce que je suis capable de comprendre).
pour ce qui est du printemps, il est bien la, aujourd'hui j'ai snobe le blouson. les fleurs sentent la fleur et rosissent au soleil tandis que leur pistil jaune s'elance tel un dard vers le ciel. les bourgeons pas encore sortis font pression contre l'ecorce legere qu'on sent prete a craquer. la sensualite de la saison nouvelle n'echappe pas aux photographes amateurs, que l'on suppose erotomanes, comme tous les types installes a l'entree du combini du coin et qui devorent les bedes pornos a 367 yen. les gateaux au mochi sont a la prune, et on sent que les cerises vont arriver bientot.
le long du chemin des philosophes, le nombre des touristes augmente. je trouve un magasin extraordinaire dont l'obsession de decoration est le chat, aux vendeuses charmantes et au chat du comptoir un peu vieillissant et ronronneur. la fin de journee est lente et sans que l'alarme du matin ait eu un quelconque effet sur la fin des reves. une journee sans reveil, de ces jours heureux et cotonneux ou a aucune moment la conscience ne sort au grand jour et ne force a l'action ou a la comprehension. benis.
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